Bon, j'vais foutre les nouvelles que j'écrirais un jour ici. J'suis pas un grand lecteur, j'sais pas comment les autres ils font donc ça risque de transpirer l'amateurisme mais bon, on s'en fout.
(Et nouvellette parce que j'ai tendance à écrire des trucs très courts, et que ça fait plus mignon donc ça attire les filles).

Des cris. Des bruits d'armes. Encore des cris. Quelques explosions. Soudain plus rien. La porte s'ouvrit, il ne prit pas la peine de la refermer entièrement, il avait fini ce qu'il avait à faire. Mais elle avait tout entendu. Il dévala les escaliers son sac sur le dos pendant qu'une voiture l'attendait. La présente aperçu le fuyard, peut-être l'avait-il aussi remarqué néanmoins il ne daigna pas s'arrêter. Elle saisit cette opportunité pour assouvir sa curiosité grandissante, chaque marche gravie la rapprochait un peu plus du dénouement, son cœur accélérait au rythme de ses foulées à l'idée de découvrir ce qu'il se cachait derrière la porte. Elle se doutait de l'enfer dans lequel elle s’apprêtait à pénétrer. Les émotions se mêlaient tandis qu'elle poussa de main morte la porte. Le propylée franchi, centimètre par centimètre, le cauchemar se dévoilait. Des corps inanimés, au moindre pas inattentif elle risquait de briser leurs membres parfois déjà détachés, des vêtements tâchés et surtout, oui surtout, cette odeur pestilentielle. Devant cette vision d'horreur, elle imaginait la suite, ces corps familiers classés un par un dans des casiers, un numéro au pied ainsi que leur provenance. Les habits souillés jetés dans une corbeille. Le plus dur serait sans doute de se débarrasser de ces effluves nauséabondes. Crac. Ce simple son la tira de ses pensées et sans qu'elle n'y prête attention, il avait amorcé son ascension vers la salle. Tap-tap. Il s'avançait désormais en direction de la porte. Tap-tap. Le voyou était de retour sur le lieu du crime alors qu'elle eut le temps de se dissimuler dans l'ombre de la porte. Le gredin fouillait les étagères à la recherche d'une chose, au moment où il trouva ce qu'il avait oublié dans la précipitation, elle se montra et lui saisit le poignet, impossible pour lui de se défaire de l'étreinte. Bien que c'était elle qui avait prit l'initiative, elle ne pu s'empêcher de lâcher un hurlement effroyable :

- Reste là ! Avant de sortir, range ta chambre, c'est le bordel et aère un peu, ça sent le fauve !

Haha j'avoue j'y avait pas pensé
Mais j'ai eu vraiment du mal à comprendre les premières lignes, après qu'il sorte de sa chambre, parce que je n'ai pas réussi à visualiser la scène; peut-être parce qu'il y avait très peu de description et qu'elles était trop "cash"? On parle d'une femme d'un coup puis il se trouve qu'en fait elle était en bas puisqu'elle monte les marches, elle a visiblement croisé l'homme qui porte en fait un sac (et détail : le "son" indique un sac précis dont on nous aurait déjà parlé, dans cette situation ça rend le lecteur confus mais pas dans le sens voulu) ? Enfin je sais pas si tu vois Je suis nulle en critique constructive donc j'essaye tant bien que mal de donner mon ressenti de façon bordélique
Même si une nouvelle est courte, il faut (à mon avis) justement bien poser le décor pour que ça soit clair pour le lecteur même si c'est clair dans ta tête. Et ça veut pas forcément dire retirer du mystère, juste donner une idée plus précise des événements !
En revanche j'ai pas eu de soucis avec la suite dans la chambre, c'était cool car y'avait des descriptions visuelle, auditives et olfactives, complétées par les pensées de la femme ça rend bien compte de l'atmosphère !
Mais sinon j'ai bien aimé hein, don't worry be happy :D J'ai toujours aimé les nouvelles à chute :B

edit : wow mon commentaire est presque aussi long que ta nouvelle

Bah j'trouve que c'est mieux ainsi en fait, d'une part parce que j'en avais marre d'écrire (j'étais en pls sur mon canapé à enfoncer une lettre par une lettre) et d'autre part parce que ça concorde avec ce qui se passe. Le type est pressé, il prend pas la peine de fermer la porte de sa chambre, j'prends pas la peine de décrire dans un souci de précipitation artistique et de cohérence narrative.
Puis pour le sac, j'ai hésité à le mettre en fait mais c'était plus dans l'idée que le mec avait un arsenal et qu'il devait bien le foutre quelque part (surtout que j'ai eu l'idée de cette nouvelle à la suite du Bataclan ). Ou alors c'était un cambriolage qui avait mal fini et son sac contenait les biens volés. Genre dans les films ils ont souvent un putain de sac en bandoulière.  Bref, c'était implicite et j'laisse le lecteur se démerder avec la version qu'il veut.
Et bon en vrai, c'est surtout que ça m'amusait d'imaginer un gosse descendre des escaliers en vitesse avec un sac potentiellement aussi gros que lui sur le dos.
Jalouse.
J'en écrirais peut-être une autre ce week-end, sans tenir compte de tes remarques parce que j'suis un fou dans ma tête.
A force d'éditer je monte le nombre de vue artificiellement.
Y a rien d'intéressant dans cette phrase, c'est juste pour embêter les gens qui veulent la lire.